El Templo del Pilar

History

Templo del Pilar. 2

ALLANEGUI-CASCAJARES ‘ HOUSE

Autoría : Santos Lucio Sánchez

Large manor house, built in ashlar on the ground floor and brick on the other floors. It is a clear example of Aragonese civil architecture from the late Renaissance and Baroque periods, so this building could be dated between the 16th and 17th centuries.

The palace is made up of three façades: the main one, which faces Plaza de la Hoya or Plaza del Cardenal Cascajares, and two side ones, the one facing Calle de la Hoya, from the same period as the main façade, and the one facing Calle de Mosén Vicente Allanegui, built at a later date.

The main façade is composed of the main elements that characterise Aragonese palaces of the period. The ground floor is the only one built in ashlar. The main floor, built in brick, has three balconies. And just above, the typical gallery of arches or loggia, the main characteristic of this style. In this case, the gallery is made up of eleven semicircular arches built in brick, with numbers one, four, eight and eleven blinded since their construction, and the remaining ones open, thus composing a symmetrical rhythm. To finish the composition of the main façade, we find an element that is also very common in this type of Aragonese manor houses: the eaves.

The façade facing Calle de La Hoya follows the same style as the main façade, which shows that they were built at the same time. The ground floor is of ashlar masonry with latticed windows, the main floor with balconies, some of them blinded, and the upper floor with the gallery of arches, ending with the brick eaves.

In contrast, the third façade, the one facing Mosén Vicente Allanegui street, is completely different. In this part, the decoration has been played with, using the construction material itself, which could be reminiscent of the Mudejar style. The arched gallery does not appear on this façade, which is replaced by small ventilation openings, and the eaves.

In the 1960s, the arch known as the Arch of Mosén Vicente Allanegui, which connected the main body of the palace with the wing that stood where the building of the former La Hoya Restaurant and Cinema now stands, was destroyed.

According to the existing photos, the arch and the part of the building that was built next to it had a similar construction to the main façade, with the ground floor built in ashlar and the remaining floors in brick.

HISTORY:

Although the exact time of its construction is not known with certainty, nor who its first owners were, it is known that at the time of construction it was a good economic time for Lower Aragon, when, both in Calanda and in other villages, large palaces were built, as it was then that the new upper classes of society were being formed, as a counterweight to the old military orders, so important in this area. Proof of this is that, in the different censuses, especially after the arrival of the Bourbons, the number of infanzones and hidalgos (noblemen) in the different villages of Lower Aragon continued to increase.

Templo del Pilar. 1

Le Palais Allanegui-Cascajares

Les principales caractéristiques architecturales de l'édifice sont : un soubassement en de pierre de taille  et des murs en brique. C'est un exemple de l'architecture civile aragonaise de la dernière étape de la Renaissance et du Baroque, ce bâtiment pourrait donc être daté du 17ème siècle.
Le palais est composé de trois façades: une principale, qui surplombe la Plaza de la Hoya - ou Cardenal Cascajares -, l'une donnant sur la Calle de la Hoya, de la même période que la principale, et une troisième attenante à la Calle de Mosén Vicente Allanegui, construit plus tard.

La façade principale contient des éléments caractéristiques des palais aragonais de l'époque. Le rez-de-chaussée est construit en pierre de taille. L'étage noble, en brique, contient trois balcons. Et juste au-dessus, la typique galerie d'arches ou loggia, caractéristique de ce style. Dans le cas qui nous concerne, cette galerie est composée de onze arcs en plein cintre construits en brique, les numéros un, quatre, huit et onze étant aveuglés dès la construction, et les autres ouverts, composant ainsi un rythme symétrique. Dans la composition de la façade principale, on retrouve un élément qui est également très courant dans ce type de demeures aragonaises: les avant-toits.

La façade donnant sur la Calle de La Hoya suit le même style que la façade principale, ce qui démontre qu'elles ont été construites en même temps. Le rez-de-chaussée en maçonnerie de pierre de taille avec fenêtres en treillis, le rez-de-chaussée avec balcons, certains aveugles, et l'étage supérieur avec la galerie d'arches, se terminant par l'avant-toit en brique.

En revanche, la troisième façade, celle qui fait face à la rue du Mosén Vicente Allanegui, est complètement différente. Dans cette partie, on apprécie une décoration, utilisant des matériaux de construction que l'on pourrait associer au style mudéjar. La galerie d'arcs est remplacée par de petites ouvertures d'aération. Dans les avant-toits, la décoration est en plâtre et présente un certain goût mudéjar.

Dans les années soixante du XXème siècle, l'arche connue sous le nom d'  "Arche de Mosén Vicente Allanegui", et l'aile gauche du Palais furent mise à bas. Les photos de l'époque montrent que l'aile gauche présentait une facture similaire à la façade principale, le rez-de-chaussée étant construit en maçonnerie de pierre de taille et le reste en brique.

La date exacte de la construction du Palais et le nom du commanditaire nous sont inconnues. Le dernier tiers du XVII semble être la date la plus probable vue que le Bas Aragón vit à cette époque un contexte de bonnance économique , de grandes des bâtiments sont alors construits dans d'autres villes de la zone qui sont le symbole de l'émergence  d'une caste sociale supérieure issue de la petite noblesse.

L'une de ces familles  d'"infanzones", qui accédera plus tard à la haute noblesse, furent les Cascajares, sûrement la famille la plus puissante et la plus influente de la ville entre le XVII et le XIXe siècles. Antonio María Cascajares y Azara, né a Calanda deviendra cardinal, évêque de Ciudad Real et de Calahorra puis archevêque de Valladolid et de Saragosse.

A la fin du XIX siècle la maison familiale des Cascajares passe en main des  Allanegui.  Parmi les membres de la famille Allanegui LUsarreta se détache la figure de Mosén Vicente, qui fut le coadjuteur de Calanda durant le le long de sa vie et le principal promoteur de la Semaine Sainte de Calanda.

Autoría : FRANCISCO APARICIO AGUERRI

Casa solariega de grandes dimensiones, construida en sillar la planta baja y ladrillo el resto. Es un claro ejemplo de la arquitectura civil aragonesa de la última etapa del renacimiento y del barroco, por lo que este edificio se podría fechar entre los siglos XVI y XVII.

El palacio se compone de tres fachadas: una principal, que da a la Plaza de la Hoya o del Cardenal Cascajares, y dos laterales, la que da a la Calle de la Hoya, de la misma época que la principal, y la que da a la Calle de Mosén Vicente Allanegui, de construcción posterior.

La fachada principal se compone de los principales elementos que caracterizan a los palacios aragoneses de la época. En la planta baja, la única construida en sillar, destaca la austera y sobria portada de medio punto y las dos ventanas enrejadas que conservan la carpintería decorada con formas geométricas (cuadrados y círculos). En la planta noble, ya construida en ladrillo aragonés, se abren los tres balcones. Y justo encima, la típica galería de arquillos o logia, principal característica de este estilo, tan extendido en Aragón, aunque apenas presente en Calanda (aparte de este, solo hay otro ejemplo en la Calle San Miguel). En el caso que nos ocupa, esta galería la componen once arcos de medio punto construidos en ladrillo, estando cegados desde su construcción los números uno, cuatro, ocho y once, y abiertos los restantes, componiendo así un ritmo simétrico. Para finalizar la composición de la fachada principal nos encontrarnos un elemento también muy común en este tipo de caserones aragoneses: el alero, en este caso doble y de ladrillo. Por último, destacar la presencia de la placa conmemorativa del nacimiento en este edificio del Cardenal  Don Antonio María Cascajares y Azara, obispo de Ciudad Real y Calahorra y Arzobispo de Valladolid y Zaragoza (1834-1901).

La fachada que da a la Calle de La Hoya sigue el mismo estilo que la fachada principal, lo que nos muestra que se construyeron en la misma época. La planta baja de sillería con ventanales enrejados, la planta noble con balcones, alguno de ellos cegados, y la planta superior con la galería de arquillos, finalizando con el alero de ladrillo.

Por contra, la tercera fachada, la que da a la calle de Mosén Vicente Allanegui, es completamente distinta. La planta baja es también de sillería, pero de mucha peor calidad. En esta planta baja se abren pequeños vanos sin enrejar. A la planta noble se abren tres balcones sin vuelo y, aunque la construcción también es de ladrillo, en esta parte se ha jugado con una decoración, usando el propio material de construcción, que podría recordar al estilo mudéjar. Por último, en esta fachada no aparece la galería de arquillos, que es sustituida por pequeños huecos de ventilación para la falsa, y en el alero destaca la decoración construida con yeso, que continúa con la decoración con cierto gusto mudéjar.

Entre esta ampliación y la fachada principal existe un pequeño tramo de fachada, con una puerta abierta en arco de medio punto que, aparentemente, es contemporánea a la fachada principal. Y justo encima de dicha puerta se puede observar un pequeño lienzo de ladrillo moderno, que es consecuencia de un atentado contra el patrimonio cultural sucedido en la década de los años sesenta en pos de una modernidad y de un progreso mal entendido. Sin duda alguna, la época del desarrollismo en España (décadas de los 60 y 70) fueron años negros para nuestro patrimonio, tanto en Calanda como en el resto del país, ya que, en nombre del desarrollo, la piqueta acabó con más edificios y lugares de interés cultural que las bombas de muchas guerras. Aunque en la actualidad la sociedad ha tomado conciencia, por desgracia se sigue destruyendo y abandonando patrimonio apelando a los nuevos tiempos, por lo que es obligación de todos estar alerta e intentar evitarlo.

El atentado al patrimonio cultural al que me estoy refiriendo no es otro que la destrucción del conocido como Arco de Mosén Vicente Allanegui, que unía, por encima de la calle del mismo nombre, el cuerpo principal del palacio con el ala que se levantaba donde actualmente está el edificio del antiguo Restaurante y Cine La Hoya.

Según las fotos conservadas, el arco y la parte del edificio que se levantaban a continuación tenía una factura similar a la fachada principal, con la planta baja construida en sillería y las restantes en ladrillo. El propio arco, también construido en sillar, era de medio punto, pero algo irregular. Junto al arco, existía una puerta adintelada, y encima, en la planta noble, balcones de igual factura a los que han llegado a la actualidad. Para terminar, en la parte alta, continuaba la galería de arquillos aragonesa. Justo detrás de esta parte del edificio, se encontraban el conocido como “Jardín del Cura”, en referencia a Mosén Vicente, perteneciente a esta casa. También en recuerdo a este cura existió encima del arco una placa conmemorativa que en la actualidad se conserva en la fachada principal del Ayuntamiento.

Debido al derribo del arco hace cincuenta años, se ha perdido la oportunidad de conservar uno de los rincones más pintorescos del municipio, y una de las plazas más bonitas de la contornada, compuesta por la fachada trasera de la Iglesia de la Esperanza, la fachada principal del edificio que nos ocupa, el Arco de Mosén Vicente y la continuación de la Casa Allanegui. Por no hablar de haber conservado los jardines. En vez de eso, tenemos una plaza en la que apenas apetece pararse. Pero no todo es malo: se puede aparcar.

Del interior se disponen de pocos datos, ya que es una vivienda de propiedad privada y de la que pocos datos se disponen, tanto de su situación original como de su estado actual. Pero, acudiendo a la descripción de otros palacios de su misma época, podemos imaginarnos como podía ser. Este palacio, igual que otros del Bajo Aragón o Maestrazgo (a diferencia de los zaragozanos) no disponía de patio interior que estructurara la casa, ya que todo el peso de la representatividad recae en la fachada. Lo primero que nos encontraríamos sería un amplio zaguán, posiblemente con un suelo de cantos, con algún arco muy rebajado para sujetar la estructura superior. Luego accederíamos a la amplia escalera principal para subir a la planta noble, vivienda de los dueños de la casa y donde se encontraban las salas principales con chimenea a la francesa y donde los amos “hacían vida”, siendo las salas más importantes las que daban a la fachada principal. También en esta planta estarían los dormitorios y alcobas. Los techos, con estructura de madera se solían hacer de vueltas, de bovedillas de rejolas puestas entre maderos redondos o cuadrados y, seguramente, en esta planta principal, tuvieran algo de decoración, a diferencia del resto de plantas.

También, en esta planta o en otras, se dispondría el espacio para que viviera el servicio, construido con materiales más pobres, y cerca de él, la cocina con el hogar o fuego bajo para cocinar, sustituido posteriormente por otro tipo de sistemas. También habría amplios espacios para cuadras y bodegas en las plantas bajas. Por último, arriba, justo debajo del tejado (construido en madera, cañizo y teja árabe), la falsa, que se usaría de granero y almacén de los productos sacados de las múltiples fincas de los propietarios.

HISTORIA

Aunque no se sabe con certeza el momento exacto de su construcción ni quiénes fueron sus primeros propietarios, se sabe que en la época de construcción era un buen momento económico para el Bajo Aragón, cuando, tanto en Calanda como en otros pueblos, se edifican grandes palacios, ya que es entonces cuando se está formando las nuevas clases superiores de la sociedad, como contrapeso a las viejas órdenes militares, tan importantes en esta zona. Muestra de ello es que, en los distintos censos, sobre todo a partir de la llegada de los Borbones, no deja de aumentar el número de infanzones e hidalgos en los distintos pueblos bajoaragoneses.

Una de estas familias infanzones, que posteriormente accedieron a la alta nobleza, fueron los Cascajares, seguramente la familia más poderosa e influyente de la localidad durante, al menos, los siglos XVIII y XIX. El edificio que nos ocupa fue su casa solariega durante generaciones de esta familia. También, como sucedió en muchos lugares, pudo haber cambios en la familia propietaria del palacio fruto de las políticas matrimoniales de las clases altas, donde eran muy habituales los casamientos entre las distintas familias.

Ya en 1718, Miguel Antonio de Cascajares ya reclama título de infanzonía. Puede que este personaje ya habitara este palacio. También es posible que este edificio fuera lugar de nacimiento de Francisco de Cascajares, que en el XVIII ejerció de juez criminal en la Audiencia de Barcelona y oidor en la de Zaragoza, como figura en la fachada del Ayuntamiento.

Fruto de las políticas matrimoniales de las que hemos hablado, los Cascajares, desde el siglo XVIII, pasan a ser Barones de Bárcabo, siendo Justo de Cascajares y Erla el primero miembro de esta familia en llevar el título. Y así llegamos al VIII Barón de Bárcabo, Agustín de Cascajares y Bardaxí, nacido en 1794 y casado con Catalina de Azara y Mata, descendiente de los Marqueses de Nibbiano. De este matrimonio nacieron los siguiente hijos: Manuel (abogado y político, fue Diputado en Cortes y Senador), Félix (catedrático de derecho y diputado en Cortes), Joaquín (militar), José, Felipe (general, senador y padre de Justa Cascajares, dueña del palacio que actualmente acoge el CBC), Justa y Antonio María (Cardenal, obispo de Ciudad Real y Calahorra y arzobispo de Valladolid y Zaragoza). Es muy probable que todos estos hermanos nacieran entre los muros de esta casa, y del último nombrado hay constancia, como se refleja en la lápida de la fachada.

También, al ser el principal palacio de la villa durante muchos años, es muy probable que cuando vinieran a Calanda personajes importantes, estos se alojaran es este caserón. Ejemplo de ello es que Rafael de Riego (el del himno), nombrado Capitán General de Aragón durante el Trienio Liberal (1820-1823) visitó Calanda el 25 de agosto de 1821, permaneciendo en el pueblo hasta el 27 del mismo mes, alojándose en casa de la Baronesa de Bárcabo, que entonces sería Catalina de Azara y Mata, antes nombrada (aunque el Barón de Bárcabo sería su marido). Por lo que cabe pensar que Riego se alojaría en el caserón de la Plaza de la Hoya.

Con el paso del tiempo, la casa pasó al matrimonio formado por el militar Juan José Andrés María de Allanegui y Odiaga (Orense 1832-Zaragoza 1913) y Herminia Lusarreta Bonal (Castellote ¿?-Calanda 1916). De ese matrimonio nació el también militar Juan Allanegui Lusarreta (muerto en Mindanao, Filipinas, en 1895) y el religioso Vicente Juan Herminio Ildefonso Allanegui Lusarreta (Calanda, 1868-1948), más conocido como Mosén Vicente, sacerdote que ejerció como coadjuntor en su pueblo durante toda su vida. Fue el gran impulsor de la Semana Santa Calandina, fundando algunas cofradías e introduciendo algunos personajes, además de autor de “La Palillera”, seguramente uno de los toques de tambor más queridos por los calandinos. También fue autor de la obra Apuntes Históricos sobre la Historia de Calanda.

La importancia del palacio, de la Plaza de la Hoya y de la figura de Mosén Vicente es que, hasta los años setenta se Rompía la Hora en esta plaza, delante del caserón e, igualmente, el cese definitivo de redobles se realizaba en delante de la placa conmemorativa de Mosén Vicente que había en el arco tristemente desaparecido.

Por último, en los años 60, los propietarios del palacio vendieron el arco, parte del palacio y los jardines, que fueron derribados para construir el Restaurante y Cine La Hoya. Lo que resta del caserón pertenece en la actualidad a la familia Sauras-Delallave, que lo usan como segunda residencia, pero al parecer se sigue conservando la distribución original y mobiliario de gran antigüedad.

 
FELIPE DE CASCAJARES
ANTONIO MARÍA DE CASCAJARES
MANUEL DE CASCAJARES

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